Si éviter le confinement afin d'éviter les dommages collatéraux (pb psy, violences aux enfants, indépendants aux chômage), conduisait aussi à laisser partir les plus fragiles d'entres -nous ; comment pourrions-nous l'assumer consciemment ?

Publié le 22 février 2021 à 14:31

Certains gouvernements étrangers ont laissé comprendre qu'ils n'étaient plus à même de porter un re-confinement.
Le gouverneme fançais, lui aussi, faisant fac à la double mssion de veiller à l'avenir économique d'une nation et de
maintenir les conditions de santé psychologiques et physique de ses membres est également face au même
dylemne. Les conséquences d'un re-confinement seront encore plus importantes que celles du premier. Les
violences faites aux enfants, les violences conjugales, les fermetures définitives des entreprises qui ne pourront être
sauvées, la disparition économique d'un certain nombre de professionnels indépendants de proximité et des artisans
locaux, vont continuer à augmenter si un re-confinement survient. Ce qui, en toute logique, encourage un
gouvernement à se détourner de cette direction. Mais le souci hautement légitime d'éviter ces catastrophes
humaines, ne nous y trompons pas, nous conduit au risque de devoir assumer une autre perte humaine : le départ
des plus vulnérables. Cependant, il ne s'agit pas ici de savoir si cela est bien ou mal. Pourquoi ?

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